L’escrime s’est ouvert à la pratique féminine très tardivement, notamment dans le haut-niveau olympique puisque le fleuret, l’épée et le sabre ne sont disciplines olympiques respectivement que depuis 1924, 1996 et 2004 contre 1896 pour les discipline masculines.

Aux Jeux Olympiques de Paris 2024, les escrimeuses françaises se sont illustrées dans les pas de grandes escrimeuses dont la plus médiatisée fut peut-être Laura Flessel, quintuple médaillée puis ministre des sports !

La féminisation de l’escrime est aujourd’hui un des enjeux de la Fédération Française d’Escrime. Le club s’engage aux côtés de la fédération pour favoriser la pratique féminine, favoriser la représentation des femmes au sein des instances du club et veiller à l’intégrité des pratiquantes au sein du club.

Au Cercle de l’épée, 44% des pratiquants sont des pratiquantes ; il y a notamment 32 femmes adultes pour 25 hommes dans le groupe Adultes (Seniors à Vétérans). Chez les plus jeunes, la parité n’est pas encore à l’ordre du jour avec 24 filles pour 48 garçons chez nos jeunes escrimeurs.es (avec de grosses disparités selon les groupes). Mais la tendance est là !

Les femmes sont majoritaires dans le Bureau et dans le Conseil d’administration.

Le club a désigné une escrimeuse référente Violences dans le sport et sur la saison 2023-2024, chaque groupe de pratiquant.es a été sensibilisé aux violences dans le sport, notamment aux violences sexistes et sexuelles.